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STAGES

HYDROGEOLOGUE

​

  1. Titre : Etude et bilan hydrogéologique du bassin transfrontalier de Tindouf

 

  1. Thématique /Objectifs (10 lignes max) :

Le bassin de Tindouf est le bassin saharien le plus méconnu du fait de ressources en eau peu exploitées, d’une population faible et de conflits territoriaux entre le Maroc, le Sahara occidental et l’Algérie. Ce bassin transfrontalier s’étend sur environ 210000km² essentiellement sur l’Algérie, mais aussi sur le Sahara Occidental, le Maroc, et la Mauritanie dans un domaine aride. Les études hydrogéologiques sont rares et les cartes piézométriques sont quasiment indisponibles. Pour ce travail, il s’agira dans un premier temps de décrire la géométrie, la géologie, les limites hydrogéologiques du bassin, et d’y caractériser les aquifères. Après une rapide synthèse des données hydrogéologiques disponibles, il sera nécessaire de collecter des informations piézométriques indirectes. Ces informations, pour certaines issues de l’imagerie satellitaire, s’appuieront sur la climatologie, la géomorphologie et l’hydrologie particulière des zones arides : sources, Foum (cluses), Sebkha. Le travail devrait aboutir à un schéma conceptuel du fonctionnement hydrogéologique de ce bassin.

Les données piézométriques disponibles et les donnes indirectes (sources,) seront utilisées afin de proposer des "esquisses" de cartes piézométriques pour le système aquifère multicouche. Les données de gravité satellite (GRACE) permettront de dresser le bilan d'eau du bassin.

  1. Méthodes (5 lignes max)

 

  1. Cartographie géologique numérique et coupes géologiques.

  2. Synthèse de données y compris par digitalisation de cartes.

  3. Analyse d’image satellite, consultation de bases de données.

  4. Collecte de données d'humidité de sols (GLDAS) et de donnée de gravité satellite (GRACE).

  5. Bilan de masse global du bassin à l'aide des données GRACE.

 

Mots-clefs : géologie, hydrologie, Sahara

Lieu : Arbois

  1. Encadrants et contact :

Gonçalvès Julio, Alexis Nutz, et Pierre Séraphin

CEREGE – Arbois

goncalves@cerege.fr, nutz@cerege.fr

 

Ce travail de M2 sera effectué en parallèle d'un stage de M1 jusqu'à la conceptualisation.

Lieu: Moroni Hadoudja
300 000fc/moi
CDD

HYDROGEOLOGUE

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  1. Titre : Etude et bilan hydrogéologique du bassin transfrontalier de Tindouf

 

  1. Thématique /Objectifs (10 lignes max) :

Le bassin de Tindouf est le bassin saharien le plus méconnu du fait de ressources en eau peu exploitées, d’une population faible et de conflits territoriaux entre le Maroc, le Sahara occidental et l’Algérie. Ce bassin transfrontalier s’étend sur environ 210000km² essentiellement sur l’Algérie, mais aussi sur le Sahara Occidental, le Maroc, et la Mauritanie dans un domaine aride. Les études hydrogéologiques sont rares et les cartes piézométriques sont quasiment indisponibles. Pour ce travail, il s’agira dans un premier temps de décrire la géométrie, la géologie, les limites hydrogéologiques du bassin, et d’y caractériser les aquifères. Après une rapide synthèse des données hydrogéologiques disponibles, il sera nécessaire de collecter des informations piézométriques indirectes. Ces informations, pour certaines issues de l’imagerie satellitaire, s’appuieront sur la climatologie, la géomorphologie et l’hydrologie particulière des zones arides : sources, Foum (cluses), Sebkha. Le travail devrait aboutir à un schéma conceptuel du fonctionnement hydrogéologique de ce bassin.

Les données piézométriques disponibles et les donnes indirectes (sources,) seront utilisées afin de proposer des "esquisses" de cartes piézométriques pour le système aquifère multicouche. Les données de gravité satellite (GRACE) permettront de dresser le bilan d'eau du bassin.

  1. Méthodes (5 lignes max)

 

  1. Cartographie géologique numérique et coupes géologiques.

  2. Synthèse de données y compris par digitalisation de cartes.

  3. Analyse d’image satellite, consultation de bases de données.

  4. Collecte de données d'humidité de sols (GLDAS) et de donnée de gravité satellite (GRACE).

  5. Bilan de masse global du bassin à l'aide des données GRACE.

 

Mots-clefs : géologie, hydrologie, Sahara

Lieu : Arbois

  1. Encadrants et contact :

Gonçalvès Julio, Alexis Nutz, et Pierre Séraphin

CEREGE – Arbois

goncalves@cerege.fr, nutz@cerege.fr

 

Ce travail de M2 sera effectué en parallèle d'un stage de M1 jusqu'à la conceptualisation.

Lieu: Moroni Hadoudja
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  1. Thématique /Objectifs (10 lignes max) :

Le bassin de Tindouf est le bassin saharien le plus méconnu du fait de ressources en eau peu exploitées, d’une population faible et de conflits territoriaux entre le Maroc, le Sahara occidental et l’Algérie. Ce bassin transfrontalier s’étend sur environ 210000km² essentiellement sur l’Algérie, mais aussi sur le Sahara Occidental, le Maroc, et la Mauritanie dans un domaine aride. Les études hydrogéologiques sont rares et les cartes piézométriques sont quasiment indisponibles. Pour ce travail, il s’agira dans un premier temps de décrire la géométrie, la géologie, les limites hydrogéologiques du bassin, et d’y caractériser les aquifères. Après une rapide synthèse des données hydrogéologiques disponibles, il sera nécessaire de collecter des informations piézométriques indirectes. Ces informations, pour certaines issues de l’imagerie satellitaire, s’appuieront sur la climatologie, la géomorphologie et l’hydrologie particulière des zones arides : sources, Foum (cluses), Sebkha. Le travail devrait aboutir à un schéma conceptuel du fonctionnement hydrogéologique de ce bassin.

Les données piézométriques disponibles et les donnes indirectes (sources,) seront utilisées afin de proposer des "esquisses" de cartes piézométriques pour le système aquifère multicouche. Les données de gravité satellite (GRACE) permettront de dresser le bilan d'eau du bassin.

  1. Méthodes (5 lignes max)

 

  1. Cartographie géologique numérique et coupes géologiques.

  2. Synthèse de données y compris par digitalisation de cartes.

  3. Analyse d’image satellite, consultation de bases de données.

  4. Collecte de données d'humidité de sols (GLDAS) et de donnée de gravité satellite (GRACE).

  5. Bilan de masse global du bassin à l'aide des données GRACE.

 

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Gonçalvès Julio, Alexis Nutz, et Pierre Séraphin

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goncalves@cerege.fr, nutz@cerege.fr

 

Ce travail de M2 sera effectué en parallèle d'un stage de M1 jusqu'à la conceptualisation.

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  1. Thématique /Objectifs (10 lignes max) :

Le bassin de Tindouf est le bassin saharien le plus méconnu du fait de ressources en eau peu exploitées, d’une population faible et de conflits territoriaux entre le Maroc, le Sahara occidental et l’Algérie. Ce bassin transfrontalier s’étend sur environ 210000km² essentiellement sur l’Algérie, mais aussi sur le Sahara Occidental, le Maroc, et la Mauritanie dans un domaine aride. Les études hydrogéologiques sont rares et les cartes piézométriques sont quasiment indisponibles. Pour ce travail, il s’agira dans un premier temps de décrire la géométrie, la géologie, les limites hydrogéologiques du bassin, et d’y caractériser les aquifères. Après une rapide synthèse des données hydrogéologiques disponibles, il sera nécessaire de collecter des informations piézométriques indirectes. Ces informations, pour certaines issues de l’imagerie satellitaire, s’appuieront sur la climatologie, la géomorphologie et l’hydrologie particulière des zones arides : sources, Foum (cluses), Sebkha. Le travail devrait aboutir à un schéma conceptuel du fonctionnement hydrogéologique de ce bassin.

Les données piézométriques disponibles et les donnes indirectes (sources,) seront utilisées afin de proposer des "esquisses" de cartes piézométriques pour le système aquifère multicouche. Les données de gravité satellite (GRACE) permettront de dresser le bilan d'eau du bassin.

  1. Méthodes (5 lignes max)

 

  1. Cartographie géologique numérique et coupes géologiques.

  2. Synthèse de données y compris par digitalisation de cartes.

  3. Analyse d’image satellite, consultation de bases de données.

  4. Collecte de données d'humidité de sols (GLDAS) et de donnée de gravité satellite (GRACE).

  5. Bilan de masse global du bassin à l'aide des données GRACE.

 

Mots-clefs : géologie, hydrologie, Sahara

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  1. Encadrants et contact :

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  1. Thématique /Objectifs (10 lignes max) :

Le bassin de Tindouf est le bassin saharien le plus méconnu du fait de ressources en eau peu exploitées, d’une population faible et de conflits territoriaux entre le Maroc, le Sahara occidental et l’Algérie. Ce bassin transfrontalier s’étend sur environ 210000km² essentiellement sur l’Algérie, mais aussi sur le Sahara Occidental, le Maroc, et la Mauritanie dans un domaine aride. Les études hydrogéologiques sont rares et les cartes piézométriques sont quasiment indisponibles. Pour ce travail, il s’agira dans un premier temps de décrire la géométrie, la géologie, les limites hydrogéologiques du bassin, et d’y caractériser les aquifères. Après une rapide synthèse des données hydrogéologiques disponibles, il sera nécessaire de collecter des informations piézométriques indirectes. Ces informations, pour certaines issues de l’imagerie satellitaire, s’appuieront sur la climatologie, la géomorphologie et l’hydrologie particulière des zones arides : sources, Foum (cluses), Sebkha. Le travail devrait aboutir à un schéma conceptuel du fonctionnement hydrogéologique de ce bassin.

Les données piézométriques disponibles et les donnes indirectes (sources,) seront utilisées afin de proposer des "esquisses" de cartes piézométriques pour le système aquifère multicouche. Les données de gravité satellite (GRACE) permettront de dresser le bilan d'eau du bassin.

  1. Méthodes (5 lignes max)

 

  1. Cartographie géologique numérique et coupes géologiques.

  2. Synthèse de données y compris par digitalisation de cartes.

  3. Analyse d’image satellite, consultation de bases de données.

  4. Collecte de données d'humidité de sols (GLDAS) et de donnée de gravité satellite (GRACE).

  5. Bilan de masse global du bassin à l'aide des données GRACE.

 

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Le bassin de Tindouf est le bassin saharien le plus méconnu du fait de ressources en eau peu exploitées, d’une population faible et de conflits territoriaux entre le Maroc, le Sahara occidental et l’Algérie. Ce bassin transfrontalier s’étend sur environ 210000km² essentiellement sur l’Algérie, mais aussi sur le Sahara Occidental, le Maroc, et la Mauritanie dans un domaine aride. Les études hydrogéologiques sont rares et les cartes piézométriques sont quasiment indisponibles. Pour ce travail, il s’agira dans un premier temps de décrire la géométrie, la géologie, les limites hydrogéologiques du bassin, et d’y caractériser les aquifères. Après une rapide synthèse des données hydrogéologiques disponibles, il sera nécessaire de collecter des informations piézométriques indirectes. Ces informations, pour certaines issues de l’imagerie satellitaire, s’appuieront sur la climatologie, la géomorphologie et l’hydrologie particulière des zones arides : sources, Foum (cluses), Sebkha. Le travail devrait aboutir à un schéma conceptuel du fonctionnement hydrogéologique de ce bassin.

Les données piézométriques disponibles et les donnes indirectes (sources,) seront utilisées afin de proposer des "esquisses" de cartes piézométriques pour le système aquifère multicouche. Les données de gravité satellite (GRACE) permettront de dresser le bilan d'eau du bassin.

  1. Méthodes (5 lignes max)

 

  1. Cartographie géologique numérique et coupes géologiques.

  2. Synthèse de données y compris par digitalisation de cartes.

  3. Analyse d’image satellite, consultation de bases de données.

  4. Collecte de données d'humidité de sols (GLDAS) et de donnée de gravité satellite (GRACE).

  5. Bilan de masse global du bassin à l'aide des données GRACE.

 

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